Nous sommes tous des êtres émotionnels, nous le savons et pourtant, nous résistons…
Nous résistons par peur, peur de ne plus avoir la maitrise de nos émotions si nous les écoutons et les exprimons, peur de perdre notre influence si nous manifestons de l’empathie envers notre équipes, peur d’être jugé d’idéaliste si nous adoptons une attitude positive et optimiste dans un contexte difficile.
Pourtant, toutes ces peurs trouvent leur origine dans nos croyances, dans celles de la société et plus encore dans celles des normes instaurées depuis de nombreuses années sur la relation au travail, où seules l’intelligence cognitive, rationnelle, et l’expertise technique sont reconnues comme gages de performance.
Alors que de nombreuses études et recherches ont prouvé l’importance de l’intelligence émotionnelle dans le bien-être et les performances individuelles et collectives, alors que le QE s’invite au cœur de toutes les conférences RSE, ateliers, laboratoires RH, combien d’entreprises ont-elles réellement investi dans l’accompagnement de leurs leaders, managers et collaborateurs pour le développement de leurs compétences émotionnelles ?
De nombreuses formations sur le management abordent ces compétences, mais combien de participants retiennent l’essentiel de l’apprentissage, et combien sont ceux qui sont accompagnés pour mettre en pratique cet apprentissage au quotidien sur le terrain ?
Connaître ce qu’est l’Empathie, une des compétences clés de l’intelligence émotionnelle, c’est un début. Mais cela n’apporte aucun intérêt pour soi, pour son équipe, pour l’entreprise, si nous n’apprenons pas à pratiquer son empathie, envers soi d’abord, puis envers les autres, et si nous ne l’entraînons pas. Développer et entraîner son empathie, c’est travailler au quotidien à entrer en résonance avec ses interlocuteurs, c’est à dire à comprendre son impact sur l’autre, à accueillir l’émotion de l’autre, à comprendre le besoin de l’autre, à vérifier que notre interprétation est correcte et mettre en confiance l’autre pour plus de transparence, de coopération et de soutien.
Une approche pratique et extrêmement efficace est de développer son empathie et capacité de communication grâce au langage non-verbal des micro-expressions faciales, Mimikresonanz.
« Ceux qui sont très haut dans la pyramide ont tendance à perdre en capacité de déchiffrer les émotions. Quand, en laboratoire, on présente 1 000 visages à une personne en lui demandant de décrypter ce que chacun exprime, on constate que les managers haut placés commettent plus d’erreurs que les autres. Cela s’expliquerait par le fait qu’ils allouent toutes leurs ressources à d’autres compétences et que leur opinion est moins remise en cause. » (Emma Vilarem)
La moyenne de reconnaissance des émotions est de 62,7% : l’apprentissage et l’entraînement régulier Mimikresonanz permet en quelques semaines d’atteindre un niveau de reconnaissance de plus de 85% ! Cette approche est accessible aux entreprises qui souhaitent se différencier par la performance et le bien-être de leurs collaborateurs, et devenir plus intelligentes émotionnellement.
« L’intelligence émotionnelle est un socle fondamental de la résilience. » (Tatiana Marot)
L’intelligence émotionnelle constitue une des réponses aux problématiques actuelles et une compétence indispensable pour tout dirigeant et pour tout leader, dans la constitution, la gestion et l’animation d’une équipe.
Le parcours éducatif des dirigeants et leaders n’intègre souvent pas l’apprentissage et le développement des compétences émotionnelles, pourtant au cœur des enjeux de la QVT et de l’amélioration des relations pour un leadership performant.
Être capable d’aider son équipe à dépasser ses freins au changement, à passer d’un état d’esprit fixe à un état d’esprit de développement, à accéder à leurs pleines ressources, à favoriser une attitude positive, à voir la difficulté comme une source d’opportunité, n’est plus la « cerise sur le gâteau » mais bien le « cœur du talent du leader ».
« L’intelligence émotionnelle est une des Softskills qui permet de rassurer les collaborateurs, d’éviter l’hémorragie, de garder tous les marins sur le bateau et de traverser les tempêtes sans risque, en toute sérénité et sans encombre afin de rasséréner chacun et renforcer la confiance en soi et l’estime de soi pour chacun des talents. » (Franck Derouet)
Intégrer l’intelligence émotionnelle dans le recrutement, la gestion et le management des talents, la prise de décision est une priorité des directions des ressources humaines. L’est-elle des dirigeants et des leaders ?
Pour le savoir, j’invite les dirigeants, les leaders et managers à travailler leur intelligence émotionnelle en évaluant leurs compétences émotionnelles grâce au diagnostic EQ-i, à suivre un parcours d’apprentissage et de développement avec un formateur et coach certifié, et seulement ensuite à en évaluer les impacts sur leur bien-être, leur performance individuelle et collective, et sur la qualité de leurs relations interpersonnelles.
« Plus vous êtes intelligent émotionnellement, moins vous risquez de tomber en burn-out, auquel les managers sont vulnérables. En travaillant sur ses compétences émotionnelles, on connaît mieux ses propres limites et l’on sécrète moins d’hormones de stress. » (Christophe Haag)
Les dirigeants, leaders et managers ont donc une responsabilité vis-à-vis d’eux même et de leurs équipes pour permettre à la société de devenir plus saine émotionnellement.
Pour en savoir plus, je vous invite à participer à un webinaire éducatif et interactif sur « Le management émotionnellement intelligent » : Cliquez ICI pour vous inscrire.